01 janvier 2008
Pause tandem
Toujours pas de vraie seconde escapade pour cause de grossesse puis de maternité et paternité. Eh oui, Gilles est venu agrandir la famille le 15 décembre 2007. Allez, une petite photo.
17 novembre 2006
Algarve novembre 2006
Notre première sortie se passe donc en Algarve.
Jeudi 2 novembre
Ryan Air qui prévoit des forfaits (23€ aller simple) pour le transport des vélos embarque notre tandem sans aucun problème. Nous le retrouvons sain et sauf à l'aéroport de Faro. Il ne reste plus qu'à remonter guidons, pédales et remorque pour effectuer nos premiers tours de manivelles sous la pluie portugaise.
Même si nous sommes équipés pour le camping, nous n'avons pas trop envie de camper sous la pluie. Nos hébergements resteront des pensions jusqu'à ce que le ciel s'éclaircisse.
La vile de Faro nous déçoit. Les quelques (premiers) kilomètres pour rejoindre le centre ville depuis l'aéroport ne sont pas réjouissants à cause d'un trafic intense. La vieille ville est très limitée quantitativement comme qualitativement et le centre n'est fait que de commerces comme on en voit partout.
En plein centre ville, il n'est pas évident de parquer le vélo et impensable de le laisser sans surveillance. Il n'est pas simple non plus de trouver une auberge qui peut le mettre à l'abri. Nous logeons au centre ville dans une pension tenue par un couple d'Anglais mais dès qu'on case le vélo on se retrouve à pied pour le reste de l'après-midi. Finalement le tandem et la remorque passent la nuit en équilibre dans un petit escalier de service condamné pour l'occasion.
Vendredi 3 novembre
Nous relions Tavira par les petites routes pour éviter absolument la N125. Nous passons par Pechao, Quelfes, Moncarapacho. Nous passons entre les orages jusque Tavira où nous découvrons une très belle ville dotée d'une superbe place remise à neuf. Un éclaircie nous permet de profiter du lieu.
Nous logeons dans une pension de la rive gauche.
Notre attelage passe la nuit dans un vrai garage.
Samedi 4 novembre
Nous nous lançons à l'assaut de Castro Marim par les petites routes mais notre carte ne nous permet pas de nous y retrouver. Il y a un peu moins de trafic que les jours précédents sur la nationale équipées de bandes d'arrêt d'urgence, nous sommes contraints de la suivre. Après une pause repas sur la plage, nous escaladons Castro Marim en début d'après-midi. 2 très belles forteresses nous y attendent et nous offrent une belle vue sur l'embouchure du Guadiana et ses salières. Pas de logement à Castro Marim nous redescendons sur Vila Real de Santo Antonio (jolie place) et nous prenons d'emblée 2 nuits dans une auberge en espérant laisser le temps à la pluie pour qu'elle nous quitte. Le vélo passe 2 nuits dans un salon.
Dimanche 5 novembre
Un dimanche sans vélo pour faire un peu de shopping, pour passer le fleuve en bac et se balader quelques heures en Espagne à Ayamonte.
Lundi 6 novembre
C'est sous un ciel toujours aussi menaçant que nous quittons Vila Real pour rallier Alcoutim, au Nord, sur le Guadiana.
Nous attaquons nos premiers vrais reliefs et réalisons que malgré nos bagages très limités, les côtes sont éreintantes voire impossibles pour les plus raides.
Les paysages sont bien plus beaux que sur la côte mais ils font peur à nos gambettes.
Après un repas dans un petit buibui local, nous arrivons à Alcoutim, village en amphithéâtre bordant le Guadiana et donnant sur Sanlucar ses ruines et ses moulins.
Nous constatons que l'auberge de jeunesse à fermé ses portes la veille. Nous nous rabattons vers le seul hôtel **** de l'entité. Faroway passe la nuit au bord de la piscine sous un déluge mémorable.
Mardi 7 novembre
Compte tenu de la météo exécrable et de l'absence de toute infrastructure hôtelière dans le nord de l'Algarve nous décidons de redescendre sur Vila Real et espérons pouvoir y prendre un train vers l'Ouest. Nous quittons Alcoutim sous la pluie et choisissons un itinéraire bis histoire de ne pas revoir les endroits découverts la veille.
Nous établissons ce jour notre record de vitesse à 63.5 km/h en pleine descente. Les côtes se gravissent 15 fois moins vite, évidemment.
A Vila Real nous retournons à la même pension, celle où Faroway dort dans le salon.
Mercredi 8 novembre
Le train peut nous emmener jusque Lagos pour un prix très raisonnable. Les petits trains sont équipés de wagons à bagages suffisamment grands pour accueillir notre convoi sans supplément de prix. C'est aussi notre premier jour de soleil et nous faisons enfin quelques photos en attendant le départ.
En fin de journée nous débarquons à Lagos et pédalons jusqu'à Espiche. Un beau camping nous y attend.
Jeudi 9 novembre
Lessive, séchage, shopping et plage de Luz au programme.
Nous nous reconditionnons pour repartir le lendemain vers Sagres. Comme la nuit précédente Le tandem campe à nos côtés. La remorque abrite tout ce qui ne rentre pas dans la tente, c'est à dire tout.
Vendredi 10 novembre
Liaison rapide vers Sagres où nous peinons à trouver un endroit abrité du vent mais au soleil pour le repas de midi.
Le paysage est bien plus clairsemé qu'à l'est de l'Algarve, vent oblige. Les forêts d'éoliennes en témoignent. Installation au camping puis balade vers le Cabo de Sao Vincente pour un tout beau couché de soleil à l'extrême Ouest de l'Europe.
Faroway dort dans la pinède.
Samedi 11 novembre
L'étape vers Carrapateira nous laisse déambuler dans Vila do Bispo. Village d'un calme impressionnant.
Nous pique-niquons dans les pinèdes juste avant de redescendre sur l'Océan Atlantique.
2 belles plages sauvages entourent Carrapateira et attirent des bancs de surfeurs.
Pas de camping mais une pension très cosy tenue par une Française peu souriante. Notre attelage passe la nuit dans la cour.
Dimanche 12 novembre
Retour vers Luz par les plaines et le hameau de Pedralva. La route s'y arrête pour laisser place à une piste. Nous faisons notre première expérience de tôle ondulée. (c'est pas le Pérou mais quand même) De Buddens, nous voulons longer la côte et nous époumonons à rejoindre Burgau puis Luz où nous mangeons. Pour éviter le bruit du trafic du camping d'Espiche nous essayons l'autre camping. Mauvais choix.
Lundi 13 novembre
Changement de camping et donc énième démontage et remontage du campement. Ce n'est pas négligeable finalement. Dormir à 3 dans cette petite tente n'est pas des plus reposant. Mécanique vélo et détente à la piscine sont au programme.
Mardi 13 novembre
La journée suivante nous permet de quand même aller visiter Lagos, sa vieille ville et son port. Bien touristique, bien cosmopolite, c'est à peine si on y entend parler portugais. Rien à voir avec les Tavira et Vila real de l'Est. Les prix sont en conséquence.
Mercredi 15 novembre
Réveil sous un ciel plombé pour notre grand départ vers Faro. Nous rangeons rapidement pour éviter que tout soit mouillé mais l'orage nous rattrape à Lagos alors que nous attendons le train. Arrivée sous la pluie à Faro sans les bidons et les rustines volés sur les rails. Il n'y a qu'une galerie commerçante pour nous abriter le temps d'une soirée pluvieuse. Nuit diluvienne pour Faroway qui attend dans la rue accroché à une porte.
Jeudi 16 novembre
Bruno part seul pour l'aéroport à 4h00 sous la pluie battante. Il a juste le temps de tout démonter et emballer avant que Sabine et Cyril le rejoignent pour l'embarquement. Tout est gorgé d'eau. Nos aventures portugaises se terminent là.
Les protagonistes de la balade cycliste vous remercient pour votre attention et attendent vos commentaires.
Bruno (capitane)
Sabine (stokeuse)
Cyril (3 ans, touriste)
Jeudi 2 novembre
Ryan Air qui prévoit des forfaits (23€ aller simple) pour le transport des vélos embarque notre tandem sans aucun problème. Nous le retrouvons sain et sauf à l'aéroport de Faro. Il ne reste plus qu'à remonter guidons, pédales et remorque pour effectuer nos premiers tours de manivelles sous la pluie portugaise.
Même si nous sommes équipés pour le camping, nous n'avons pas trop envie de camper sous la pluie. Nos hébergements resteront des pensions jusqu'à ce que le ciel s'éclaircisse.
La vile de Faro nous déçoit. Les quelques (premiers) kilomètres pour rejoindre le centre ville depuis l'aéroport ne sont pas réjouissants à cause d'un trafic intense. La vieille ville est très limitée quantitativement comme qualitativement et le centre n'est fait que de commerces comme on en voit partout.
En plein centre ville, il n'est pas évident de parquer le vélo et impensable de le laisser sans surveillance. Il n'est pas simple non plus de trouver une auberge qui peut le mettre à l'abri. Nous logeons au centre ville dans une pension tenue par un couple d'Anglais mais dès qu'on case le vélo on se retrouve à pied pour le reste de l'après-midi. Finalement le tandem et la remorque passent la nuit en équilibre dans un petit escalier de service condamné pour l'occasion.
Vendredi 3 novembre
Nous relions Tavira par les petites routes pour éviter absolument la N125. Nous passons par Pechao, Quelfes, Moncarapacho. Nous passons entre les orages jusque Tavira où nous découvrons une très belle ville dotée d'une superbe place remise à neuf. Un éclaircie nous permet de profiter du lieu.
Nous logeons dans une pension de la rive gauche.
Notre attelage passe la nuit dans un vrai garage.
Samedi 4 novembre
Nous nous lançons à l'assaut de Castro Marim par les petites routes mais notre carte ne nous permet pas de nous y retrouver. Il y a un peu moins de trafic que les jours précédents sur la nationale équipées de bandes d'arrêt d'urgence, nous sommes contraints de la suivre. Après une pause repas sur la plage, nous escaladons Castro Marim en début d'après-midi. 2 très belles forteresses nous y attendent et nous offrent une belle vue sur l'embouchure du Guadiana et ses salières. Pas de logement à Castro Marim nous redescendons sur Vila Real de Santo Antonio (jolie place) et nous prenons d'emblée 2 nuits dans une auberge en espérant laisser le temps à la pluie pour qu'elle nous quitte. Le vélo passe 2 nuits dans un salon.
Dimanche 5 novembre
Un dimanche sans vélo pour faire un peu de shopping, pour passer le fleuve en bac et se balader quelques heures en Espagne à Ayamonte.
Lundi 6 novembre
C'est sous un ciel toujours aussi menaçant que nous quittons Vila Real pour rallier Alcoutim, au Nord, sur le Guadiana.
Nous attaquons nos premiers vrais reliefs et réalisons que malgré nos bagages très limités, les côtes sont éreintantes voire impossibles pour les plus raides.
Les paysages sont bien plus beaux que sur la côte mais ils font peur à nos gambettes.
Après un repas dans un petit buibui local, nous arrivons à Alcoutim, village en amphithéâtre bordant le Guadiana et donnant sur Sanlucar ses ruines et ses moulins.
Nous constatons que l'auberge de jeunesse à fermé ses portes la veille. Nous nous rabattons vers le seul hôtel **** de l'entité. Faroway passe la nuit au bord de la piscine sous un déluge mémorable.
Mardi 7 novembre
Compte tenu de la météo exécrable et de l'absence de toute infrastructure hôtelière dans le nord de l'Algarve nous décidons de redescendre sur Vila Real et espérons pouvoir y prendre un train vers l'Ouest. Nous quittons Alcoutim sous la pluie et choisissons un itinéraire bis histoire de ne pas revoir les endroits découverts la veille.
Nous établissons ce jour notre record de vitesse à 63.5 km/h en pleine descente. Les côtes se gravissent 15 fois moins vite, évidemment.
A Vila Real nous retournons à la même pension, celle où Faroway dort dans le salon.
Mercredi 8 novembre
Le train peut nous emmener jusque Lagos pour un prix très raisonnable. Les petits trains sont équipés de wagons à bagages suffisamment grands pour accueillir notre convoi sans supplément de prix. C'est aussi notre premier jour de soleil et nous faisons enfin quelques photos en attendant le départ.
En fin de journée nous débarquons à Lagos et pédalons jusqu'à Espiche. Un beau camping nous y attend.
Jeudi 9 novembre
Lessive, séchage, shopping et plage de Luz au programme.
Nous nous reconditionnons pour repartir le lendemain vers Sagres. Comme la nuit précédente Le tandem campe à nos côtés. La remorque abrite tout ce qui ne rentre pas dans la tente, c'est à dire tout.
Vendredi 10 novembre
Liaison rapide vers Sagres où nous peinons à trouver un endroit abrité du vent mais au soleil pour le repas de midi.
Le paysage est bien plus clairsemé qu'à l'est de l'Algarve, vent oblige. Les forêts d'éoliennes en témoignent. Installation au camping puis balade vers le Cabo de Sao Vincente pour un tout beau couché de soleil à l'extrême Ouest de l'Europe.
Faroway dort dans la pinède.
Samedi 11 novembre
L'étape vers Carrapateira nous laisse déambuler dans Vila do Bispo. Village d'un calme impressionnant.
Nous pique-niquons dans les pinèdes juste avant de redescendre sur l'Océan Atlantique.
2 belles plages sauvages entourent Carrapateira et attirent des bancs de surfeurs.
Pas de camping mais une pension très cosy tenue par une Française peu souriante. Notre attelage passe la nuit dans la cour.
Dimanche 12 novembre
Retour vers Luz par les plaines et le hameau de Pedralva. La route s'y arrête pour laisser place à une piste. Nous faisons notre première expérience de tôle ondulée. (c'est pas le Pérou mais quand même) De Buddens, nous voulons longer la côte et nous époumonons à rejoindre Burgau puis Luz où nous mangeons. Pour éviter le bruit du trafic du camping d'Espiche nous essayons l'autre camping. Mauvais choix.
Lundi 13 novembre
Changement de camping et donc énième démontage et remontage du campement. Ce n'est pas négligeable finalement. Dormir à 3 dans cette petite tente n'est pas des plus reposant. Mécanique vélo et détente à la piscine sont au programme.
Mardi 13 novembre
La journée suivante nous permet de quand même aller visiter Lagos, sa vieille ville et son port. Bien touristique, bien cosmopolite, c'est à peine si on y entend parler portugais. Rien à voir avec les Tavira et Vila real de l'Est. Les prix sont en conséquence.
Mercredi 15 novembre
Réveil sous un ciel plombé pour notre grand départ vers Faro. Nous rangeons rapidement pour éviter que tout soit mouillé mais l'orage nous rattrape à Lagos alors que nous attendons le train. Arrivée sous la pluie à Faro sans les bidons et les rustines volés sur les rails. Il n'y a qu'une galerie commerçante pour nous abriter le temps d'une soirée pluvieuse. Nuit diluvienne pour Faroway qui attend dans la rue accroché à une porte.
Jeudi 16 novembre
Bruno part seul pour l'aéroport à 4h00 sous la pluie battante. Il a juste le temps de tout démonter et emballer avant que Sabine et Cyril le rejoignent pour l'embarquement. Tout est gorgé d'eau. Nos aventures portugaises se terminent là.
Les protagonistes de la balade cycliste vous remercient pour votre attention et attendent vos commentaires.
Bruno (capitane)
Sabine (stokeuse)
Cyril (3 ans, touriste)15 septembre 2006
Incubation
Le vélo est à peine livré, même pas encore déballé pour cause d'expatriation du mécano mais un projet de balade voit déjà le jour. N'ayant pu profiter de l'été pour partir en vacances en famille, pourquoi ne pas s'essayer au cyclo-camping dans le sud du Portugal en novembre. Le temps y est paraît-il doux à cette époque et le voyage en avion est envisageable à petits frais.
Il faut penser à s'équiper un peu pour transporter le matériel de randonnée. Deux adultes, un enfant et leurs bagages sont beaucoup pour un seul tandem novice par-dessus le marché. Une remorque s'impose en plus des sacoches. Le rêve c'est la remorque mono-roue mais notre philosophie petit budget, le confort d'un enfant remorqué et le type de piste à parcourir préconisent une petite remorque à 2 roues, tant pis pour l'aérodynamique et la maniabilité. Peut-être un jour si on est mordu.
ici des sacoches de base toutes équipées de housses de pluie pour un minimum de protection.
Là une remorque à deux places avec une attache articulée à fixer latéralement sur la base du cadre pas très loin du moyeu arrière. On peut chuter à l'aise sans retourner la remorque et ses occupants... Chouette on essayera !
La première sortie du tandem sera l'Algarve et sa capitale Faro... On décide de le baptiser FarO'Way. Il aura même son fagnon de signalisation aux couleurs de la Belgique.
Il faut penser à s'équiper un peu pour transporter le matériel de randonnée. Deux adultes, un enfant et leurs bagages sont beaucoup pour un seul tandem novice par-dessus le marché. Une remorque s'impose en plus des sacoches. Le rêve c'est la remorque mono-roue mais notre philosophie petit budget, le confort d'un enfant remorqué et le type de piste à parcourir préconisent une petite remorque à 2 roues, tant pis pour l'aérodynamique et la maniabilité. Peut-être un jour si on est mordu.
ici des sacoches de base toutes équipées de housses de pluie pour un minimum de protection.
Là une remorque à deux places avec une attache articulée à fixer latéralement sur la base du cadre pas très loin du moyeu arrière. On peut chuter à l'aise sans retourner la remorque et ses occupants... Chouette on essayera !
La première sortie du tandem sera l'Algarve et sa capitale Faro... On décide de le baptiser FarO'Way. Il aura même son fagnon de signalisation aux couleurs de la Belgique.
20 août 2006
Concept
Un vieux rêve refait surface un jour d'août 2006 sur un chantier en Corée du Sud. Rouler en tandem... C'est s'activer en plein air, prendre du bon temps à deux ou plus, se partager les côtes, papoter en roulant, avancer ni trop vite ni trop lentement pour profiter du paysage et rencontrer les gens que l'on croise.
Ce vieux rêve est-il maintenant réalisable ? En cherchant un peu sur Internet, des dizaines de vendeurs se bousculent pour vendre leurs longues bicyclettes. La gamme des prix est très large, alors pourquoi ne pas se lancer et commander un tandem 'de base' pour voir.
La communauté des tandemistes existe. Pour preuve, de nombreux passionnés publient sur la toile et se retrouvent en clubs, il suffit d'y penser et les traces des tandems du monde entier apparaissent à l'écran. Visiblement, on est pas tandemiste par hasard, la majorité est faite de convaincus. Il paraît que l'essayer c'est l'adopter, alors essayons !
C'est rapidement le Twin Power autrichien qui s'impose pour son prix rikiki et son équipement cyclo-camping. On ne s'attend évidemment pas à la qualité d'une machine de compet. mais pour se balader ça pourrait suffire.
Cadre Direct Lateral Slooping en aluminium 7005
Taille de cadre 520 mm pour un capitaine d'environ 1.80 m
Taille de cadre 480 mm pour un stoker d'environ 1.70 m
Jantes VTT 26" renforcées, 36 rayons renforcés eux-aussi
Transmission Shimano 21 vitesses indexées
2 freins à disques à câbles
1 frein à patins supplémentaire à l'arrière
Fourche avant suspendue en acier CrMo
Selle gel suspendue pour le stoker
Guidon avant papillon
Garde-boues acier CrMo
Porte-bagages avant et arrière acier
Béquille, sonnette, gourdes, dynamo et feux.
Y'a pas d'excentrique puisque c'est du low-cost mais y'a des pédales en plastoc !
25 kg tout compris
Prix catalogue : 1300 €
Prix sur le site : 900 €
Prix sur Ebay : 430 €
Ce vieux rêve est-il maintenant réalisable ? En cherchant un peu sur Internet, des dizaines de vendeurs se bousculent pour vendre leurs longues bicyclettes. La gamme des prix est très large, alors pourquoi ne pas se lancer et commander un tandem 'de base' pour voir.
La communauté des tandemistes existe. Pour preuve, de nombreux passionnés publient sur la toile et se retrouvent en clubs, il suffit d'y penser et les traces des tandems du monde entier apparaissent à l'écran. Visiblement, on est pas tandemiste par hasard, la majorité est faite de convaincus. Il paraît que l'essayer c'est l'adopter, alors essayons !
C'est rapidement le Twin Power autrichien qui s'impose pour son prix rikiki et son équipement cyclo-camping. On ne s'attend évidemment pas à la qualité d'une machine de compet. mais pour se balader ça pourrait suffire.
Cadre Direct Lateral Slooping en aluminium 7005
Taille de cadre 520 mm pour un capitaine d'environ 1.80 m
Taille de cadre 480 mm pour un stoker d'environ 1.70 m
Jantes VTT 26" renforcées, 36 rayons renforcés eux-aussi
Transmission Shimano 21 vitesses indexées
2 freins à disques à câbles
1 frein à patins supplémentaire à l'arrière
Fourche avant suspendue en acier CrMo
Selle gel suspendue pour le stoker
Guidon avant papillon
Garde-boues acier CrMo
Porte-bagages avant et arrière acier
Béquille, sonnette, gourdes, dynamo et feux.
Y'a pas d'excentrique puisque c'est du low-cost mais y'a des pédales en plastoc !
25 kg tout compris
Prix catalogue : 1300 €
Prix sur le site : 900 €
Prix sur Ebay : 430 €
